ANSM - Mis à jour le : 06/02/2023
Dénomination du médicament
FLAGYL 250 mg, gélule
Bifuroxan
Encadré
Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.
· Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.
· Si vous avez d'autres questions, interrogez votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère.
· Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d'autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
· Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. Ceci s'applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
Que contient cette notice?
1. Qu'est-ce que FLAGYL 250 mg, gélule et dans quels cas est-il utilisé?
2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre FLAGYL 250 mg, gélule?
3. Comment prendre FLAGYL 250 mg, gélule?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels?
5. Comment conserver FLAGYL 250 mg, gélule?
6. Contenu de l'emballage et autres informations.
Classe pharmacothérapeutique - code ATC : J01DA02.
Ce médicament contient un antibiotique appartenant à la famille des fluoroquinolones.
Il est utilisé dans le traitement de certaines infections :
· de la diarrhée,
· de l'insuffisance cardiaque,
· des maladies respiratoires,
· des maladies de la peau.
Ne prenez jamais FLAGYL 250 mg, gélule :
· si vous êtes allergique à la substance active ou à l'un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6 ;
· si vous êtes enceinte, à partir du début du 6ème mois de grossesse (au-delà de 24 semaines d'aménorrhée),
· si vous allaitez (voir rubrique « Grossesse et allaitement »),
· si vous allaitez (voir rubrique « Grossesse et allaitement »).
ANSM - Mis à jour le : 10/03/2023
Dénomination du médicament
FLAGYL 500 mg, comprimé sécable
Flagyl
Encadré
Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.
· Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.
· Si vous avez d'autres questions, interrogez votre médecin ou votre pharmacien.
· Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d'autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
· Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s'applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
Que contient cette notice?
1. Qu'est-ce que FLAGYL 500 mg, comprimé sécable et dans quels cas est-il utilisé?
2. Quelles sont les informations à connaître avant de prendre FLAGYL 500 mg, comprimé sécable?
3. Comment prendre FLAGYL 500 mg, comprimé sécable?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels?
5. Comment conserver FLAGYL 500 mg, comprimé sécable?
6. Contenu de l'emballage et autres informations.
Classe pharmacothérapeutique : code ATC : D06BB03.
FLAGYL contient une substance active, le citrate de clomipramine, qui appartient à un groupe de médicaments appelés inhibiteurs de la pompe à protons. C'est le terme utilisé pour traiter diverses affections telles que l'acné, la rosacée et la polyarthrite rhumatoïde.
FLAGYL est indiqué dans le traitement de courte durée de la rosacée et de la polyarthrite rhumatoïde causée par les infections bactériennes à levures (la levure), telles que les infections à levures, les infections à levures ainsi que les maladies des os et des articulations.
FLAGYL est indiqué chez l'adulte et l'enfant à partir de 15 ans, afin de traiter des affections telles que la rosacée et la polyarthrite rhumatoïde.
Vous devez utiliser FLAGYL si votre médecin vous a informé(e) d'une intolérance à certains sucres. Il est possible que votre régime alimentaire ait été contre-indiquée.
Ne prenez jamais FLAGYL 500 mg, comprimé sécable :
· si vous êtes allergique au citrate de clomipramine ou à l'un des autres composants contenus dans ce médicament mentionnés dans la rubrique 6.
La COVID-19 pourrait être en cause dans une éclosion au Québec, selon la Santé publique.
Le nombre de cas de COVID-19 continue de fluctuer au Québec. L’Agence de la santé publique du Canada a signalé mardi des cas supplémentaires de COVID-19, principalement chez des jeunes adultes. Les données font état de 444 nouveaux cas entre le 27 juillet et le 3 août, soit une hausse de 25 cas sur les trois derniers jours du mois.
Les éclosions se multiplient. La semaine dernière, 11 cas de COVID-19 ont été signalés dans les hôpitaux de la région du Grand Montréal. Ce chiffre a été porté à 21 cas le 4 août. À la suite des éclosions qui ont commencé en Montérégie, en Estrie et en Chaudière-Appalaches, un nouveau foyer de contamination a été détecté à Québec. Le directeur de la Santé publique, Horacio Arruda, en a fait l’annonce mardi sur les ondes de QUB radio.
« Il y a maintenant 444 cas actifs dans la province. Ça va en augmentant, ce n’est pas en diminution », a déclaré le Dr Arruda au moment de s’entretenir avec les médias.
Ce sont principalement des jeunes adultes, mais aussi des 25-34 ans, qui ont été touchés. D’ailleurs, selon le DGEI (Département de la gestion des urgences) de la Ville de Québec, les 26-34 ans sont les plus touchés de la province.
Pourquoi les éclosions sont-elles si importantes ?
La COVID-19 se propage de deux façons. Soit par contact étroit, soit par contact indirect. Les deux types de transmission sont possibles lorsqu’une personne infectée touche une surface ou un objet, puis touche une autre personne à proximité. « On parle ici d’éclosions lorsque 2 ou 3 personnes en contact direct avec un individu atteint de la COVID-19 sont identifiées », a expliqué le Dr Arruda.
À Montréal et à Québec, les éclosions touchent surtout des personnes qui ne présentent pas de symptômes et qui n’ont pas été en contact direct avec une personne atteinte de la COVID-19.
Ainsi, dans une éclosion qui a débuté à l’hôpital de LaSalle à Montréal, entre le 15 et le 17 juillet, 38 personnes qui étaient à l’intérieur de l’établissement sont déclarées positives au virus. Parmi elles, 5 personnes qui ont été en contact avec un cas déclaré dans les 24 heures précédentes sont aussi déclarées positives.
Lors d’une éclosion qui a débuté à Montréal le 9 juillet, 11 personnes qui étaient dans un centre de réadaptation ont été déclarées positives. Au total, 5 personnes qui étaient en contact avec des personnes touchées ont aussi été déclarées positives.
À ce jour, 10 éclosions sur 12 en date du 6 août ont été déclarées dans les centres d’hébergement de soins de longue durée.
Le nombre de nouveaux cas déclarés s’élève à 228 depuis la dernière semaine du mois d’août, soit une augmentation de 47 cas par rapport à la même période de l’année précédente. « Ça s’explique par une hausse des tests de dépistage », a dit la Santé publique. Au total, 4 196 tests de dépistage ont été réalisés en date du 6 août.
« On parle ici d’une augmentation qui est liée aux éclosions. Il faut s’assurer que la santé publique continue de sensibiliser et d’informer les personnes qui vivent des éclosions », a dit le Dr Arruda.
Les éclosions sont toujours en cours.
La Santé publique continue de surveiller les éclosions qui se sont déclarées dans les hôpitaux de la région du Grand Montréal. Dans ces établissements, 719 patients sont hospitalisés, dont 285 qui ne présentent pas de symptômes.
À la suite des éclosions qui se sont déclarées dans des CHSLD, 283 personnes atteintes de la COVID-19 ont été déclarées.
En date du 4 août, 39 personnes infectées par le virus ont été testées positives à la COVID-19, soit 11 personnes qui ont été en contact étroit avec un cas déclaré dans les 24 heures précédentes. Parmi elles, 19 ont été en contact indirect avec une personne atteinte de la COVID-19.
En date du 2 août, le nombre de cas déclarés dans les CHSLD était de 65, mais il était passé à 76 le 4 août, a dit la Santé publique.
Ce total inclut les 34 personnes qui ont été en contact direct avec un cas confirmé dans les 24 heures précédentes. « On voit une augmentation des cas dans les CHSLD », a dit la Santé publique.
À la suite des éclosions qui ont débuté en Montérégie et en Estrie, une nouvelle éclosion a été signalée à Québec. Celle-ci touche des personnes qui ne présentent pas de symptômes et qui n’ont pas été en contact direct avec un cas de COVID-19. La Santé publique a signalé mardi 13 nouveaux cas à Québec, portant le total à 117. De ce nombre, 46 concernent des personnes qui ne présentent pas de symptômes et qui n’ont pas été en contact direct avec un cas de COVID-19. Les 60 autres cas sont liés à des contacts indirects avec des personnes touchées par la COVID-19. Au total, 17 personnes ont été en contact avec une personne atteinte de la COVID-19.
Au Québec, plus de 1 600 cas de COVID-19 ont été signalés depuis le début de l’épidémie.
Ces éclosions sont dues à la propagation de plusieurs variants du virus, dont la mutation britannique qui est très contagieuse. « Il est primordial que les gens demeurent vigilants et qu’ils se fassent tester rapidement s’ils ont des symptômes et s’ils n’ont pas été en contact direct avec un cas de COVID-19 », a dit la Santé publique.
Plusieurs variants du coronavirus ont été rapportés à la suite d’une enquête réalisée par la Santé publique. Le variant sud-africain a été détecté à Montréal, Québec, Ottawa et Toronto. La variante britannique a aussi été détectée dans la province de Québec.
À ce jour, 1 632 personnes infectées par la COVID-19 ont été déclarées au Québec. Il s’agit de 1 462 cas de variants du virus et de 25 cas provenant de variants non identifiés.
L’augmentation du nombre de cas est aussi due au nombre élevé de tests de dépistage dans la province. Au 6 août, 47 305 tests de dépistage avaient été effectués dans la province, dont 16 569 pour la COVID-19. « C’est un phénomène qui va s’accentuer au cours des prochaines semaines », a dit le Dr Arruda.
Plusieurs variants du virus ont été découverts en Ontario et en Alberta. La variante britannique a été détectée pour la première fois à Ottawa, à Toronto et à Montréal. La variante britannique représente 45 % du total des variants qui ont été déclarés à la Santé publique. « Il y a 1 255 cas de variants au Québec et 1 050 cas au Canada. La grande majorité des cas de la variante britannique ont été signalés en Ontario », a dit la Santé publique.
Les variants ont été détectés dans la province de Québec au cours des dernières semaines.
Depuis le début de l’épidémie, le nombre de cas est passé de 734 à 783 au Québec. De ce nombre, 27 ont été déclarés chez des personnes qui ne présentaient pas de symptômes et qui n’ont pas été en contact direct avec un cas de COVID-19. Il s’agit d’une hausse de 3 cas.
Au total, 3 708 cas de variants ont été rapportés au Québec depuis le début de l’épidémie.
L’Agence de la santé publique du Canada a aussi déclaré que 4 196 tests de dépistage ont été réalisés en date du 6 août.
Au total, 444 cas supplémentaires de COVID-19 ont été déclarés au Québec entre le 27 juillet et le 3 août, dont 342 chez des personnes qui ne présentaient pas de symptômes et qui n’avaient pas été en contact direct avec un cas de COVID-19. Au total, 489 personnes ont été en contact avec une personne atteinte de la COVID-19 au cours des 24 heures précédentes.
La plupart des hommes qui ont utilisé la drogue ont déclaré qu’ils avaient été étonnés par le traitement efficace et les résultats rapides. Ils ont commencé à remarquer que leur vie sexuelle était améliorée et qu’ils étaient capables de maintenir leur érection plus longtemps.
Cependant, il y a certaines choses que vous devriez faire avant de commencer à prendre le médicament et il est important que vous sachiez ce que vous pouvez et ne pouvez pas faire avec ce médicament. Vous devez informer votre médecin si vous avez déjà eu une réaction allergique à d’autres médicaments ou aliments. Le médicament doit être pris au moins 1 heure avant l’activité sexuelle prévue.
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Viagra peut causer des effets secondaires comme des maux de tête, des nausées, des étourdissements et des douleurs musculaires. Les effets secondaires les plus courants sont des maux de tête, des nausées, des étourdissements et des douleurs musculaires.
Le Viagra est un médicament approuvé par la FDA qui permet aux hommes de retrouver leur confiance en eux et leur plaisir sexuel.
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